Kung-fu : 20 techniques de combat à connaître  

Le kung-fu a gagné en popularité auprès du grand public grâce au cinéma, avec des films comme Kung Fu Panda.

Or ces arts martiaux chinois sont bien plus riches que ce que le cinéma veut bien nous montrer. Ils remontent à la source de la culture chinoise pour constituer un des piliers de sa civilisation.

Nous allons tenter de voir ici ce qu'est le kung-fu, son origine, son histoire et les différents styles auxquels il a donné naissance.

Définition et étymologique du kung-fu

Le kung-fu est un terme introduit en Occident dans les années 1970 afin de désigner les films d’arts martiaux chinois

Etymologiquement, kung-fu ( 功夫 gong-fu en pinyin) signifie "entrainement de l’homme accompli".

En chinois moderne, le terme "gong-fu" s’emploie également dans d’autres domaines comme la gastronomie, la peinture, la musique ou l’art du thé. Il y désigne la "maîtrise", "l’entrainement", "la possession d’un métier".

 

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Origine du kung-fu

C'est sur le versant du mont Song dans la province de Henan au Nord de la Chine, qu’est situé le temple de Shaolin.

C’est ici qu’est née la forme de bouddhisme appelée zen au japon et chan en Chine.

Le kung-fu (la boxe chinoise) y aurait vu le jour. Or d'autres formes de kung-fu viennent d'ailleurs.

Des sources affirment que certaines formes de kung-fu viendraient du sport grec de combat, célèbre au temps des jeux olympiques antiques : le pancrace ( ou pankration en grec). 

Ce serait les troupes d’Alexandre Legrand qui auraient introduit ce sport de combat en Chine avec la lutte gréco-romaine. 

 

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La légende du Bodhidharma

Une autre légende attribut l’origine du kung-fu au moine Bodhidharma au V ième siècle.

Ce dernier, après avoir passé l’Himalaya à pied, serait arrivé dans un temple presque en ruine dont les moines étaient en très mauvaise santé.

Grâce à des exercices reposant sur des techniques de yoga, Bodhidharma permet à ces moines de recouvrer la santé.

Ces exercices, appelés "les 18 mains des arhats" ou Shi Ba Luo Han Shou passent pour être les ancêtres des arts martiaux de Shaolin.

5 styles de kung-fu

 

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Au bout d’un certain temps, le kung-fu se divise en 5 styles principaux qui prennent le nom de leur créateur : Hung, Choy, Mok ( ou Monk), Lau et Li.

Appelé les cinq ancêtres, on suppose qu’ils ont été à l’origine des Triades – ou sociétés secrètes d’aujourd’hui.

Ces 5 ancêtres semblent avoir été les seuls survivants du temple de Shaolin. Lorsque l’armée de l’empereur Qing pille et incendie ce dernier, ils traverse le fleuve jaune et se cachent. Après leur mort, de nombreuses méthodes de kung-fu sont créées par leur élèves puis d’autres variantes (parfois très différents des styles d’origine) voient le jour.

La Chine est un vaste pays aux nombreux dialectes. Par conséquent, certaines écoles de kung-fu pratiques les mêmes styles tout en leur attribuant des noms différents. Ainsi le style de la mante religieuse se dit en cantonais tong long ou won long.

20 techniques de combat dérivées du kung-fu

Le qi gong des 5 animaux

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Les styles de kung-fu développés au temple de Shao-Lin s’inspiraient du mouvement des animaux. Il y en avait 5 : le tigre, la grue, le léopard, le serpent et le dragon.

Plus tard, un ou deux animaux furent adoptés, ainsi que leurs mouvements, pour constituer le noyau d’une méthode de kung-fu complète.

Le style Hung Gar, du sud de la Chine, est tiré du style du tigre de Shaolin, qui intègre des mouvements du style de la grue blanche. 

Wing Chun 

Origines du Wing Chun

Aujourd’hui le style de kung-fu le plus populaire est sans conteste le Wing Chun ("printemps radieux"). Il se distingue des autres styles car il est inventé par une femme. Par ailleurs, il n’exige que peu de force pour parvenir à un résultat honorable.

Cette méthode est créée grâce à une nonne de Shaolin appelée Ng Mui. Cette none enseigne un style de kung-fu nommé Mui Fa Chaun ("poing en fleur de prunier"). Dans le village où elle est établie, Ng Mui fait la connaissance d’une jeune fille nommé Yim Wing Chun et lui enseigne sa méthode. Mais celle-ci est très mince. Or le poing en fleur de prunier demande une grande puissance physique.

Ng Mui souhaite une technique moins complexe, mais tout aussi efficace. Et comme aucun style ne lui convient, elle crée sa propre méthode. Elle la dédie à la nonne bouddhiste qui lui a enseignée mais lui donne son propre nom. 

Représentants du Wing Chun

Le dernier grand représentant de ce style a été le maître Yip Man (1893-1972), né dans la ville continentale de Fushan, en Chine et qui alla s’établir à Hong Kong juste avant la prise du pouvoir par les communistes.

Bruce Lee a été l’un des élèves de Wing Chun les plus célèbre. On a dit que cette méthode était à la base de son propre système, le Jeet-Kune-Do ("la voie du poing qui intercepte").





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Pour les deux tiers, le Wing Chun s’appuie sur des techniques de main et de subtils jeux de jambes. Contrairement à ce que l’ont voit au cinéma, les coups de pied sont peu employés ; et lorsqu’ils le sont, ils visent au dessous de la ceinture. Le Wing Chun est basé sur l’économie de mouvement. L’élève qui suit cette méthode apprend à défendre sa ligne centrale (une ligne imaginaire qui descend le long du corps, et qui passe près de tous les organes vitaux). Les techniques de main utilisent la force de l’adversaire pour renforcer la contre-attaque du pratiquant.

A l’origine, le kung-fu était une méthode de self défense et un exercice destiné à rester en forme. Lorsqu’on pratique l’un des nombreux styles de kung-fu qui existent aujourd’hui on apprend et on répète des enchainements préalablement établis appelé "formes". La simplicité du Wing Chun réside dans le fait que l’élément ne doit maitriser que trois formes : 

  • Siu Lim Tao (小练頭 xiaoliantou, "petite pratique").
  • Chum Kiu (寻桥 xun qiao "chercher le pont").
  • Biu Gee (镖指 biao zhi, "les doigs jaillissant")

Actuellement on estime à plusieurs milliers les styles de Kong Fu pratiqués en Asie.

Tai Chi Chuan

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Le Taiji est un style de kung-fu "interne", créé par l’ermite taoïste Zhang Sanfeng (1279-1368).

Selon la légende, alors qu’il habite la montagne, il prépare une boisson hypnotique puis s'endort profondément et fait des rêves étranges. Dans ces rêves, il voit des méthodes de combat qui consistent à éviter l’attaque.

A son réveil, deux jours plus tard il met en pratique ce dont il a rêvé. Il s'agit d’un exercice constitué de mouvements lents et continus. Chaque mouvement s’enchaîne avec le mouvement suivant dans un cycle sans fin.

En moins de deux ans, Zhang semble plus jeune et plus fort. Il attribut cette transformation aux exercices pratiqués en solitaire. Quelques années plus tard, il prend un disciple et lui apprend tout ce qu’il sait. Puis celui-ci fait profiter sa famille de ses connaissances, et cette dernière conserve le secret de cette méthode pendant plus de 400 ans. Un de leurs descendants améliore le système et cette méthode finit par se scinder en deux courants.

Le deuxième courant devient le style Yang que l’Occident connaît de nos jours.

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Ba Gua Zhang

Autre style interne de kung-fu, dont le nom signifie les huit trigrammes. Ces trigrammes sont les symboles à la base du Yijing (Livre des Changements).

Ce style repose sur l’idée suivante : si l’on est capable de se défendre dans les huit directions de la rose des vents couvertes par les trigrammes, on est protégé de toute attaque.

Cette méthode comporte un grand nombre de techniques de main ouverte, et le jeu de jambes est basé sur le cercle. L’accent est mis sur le développement du Qi (ou Chi), ou puissance interne développée par l’individu. Lorsqu’il a atteint un niveau avancé, l’élève attaque avec des mouvements tournants. Cette rotation provoquée par la taille permet une grande puissance.

Le Ba Gua est connu depuis un peu plus de 400 ans, époque où vécut le créateur présumé, Dong Hai Chuan ; mais les historiens des arts martiaux pensent que son origine remonterait à près de 5000 ans.

Xingyi Quan

Le dernier des trois styles internes inventé au douzième siècle par un général nommé Yue Fei. On l’appelle parfois boxe mentale chinoise.

Bien que les mouvements soient très élégants, ce style met en jeu le principe yin et du yang, des opposés complémentaires, du dur et du mou. Les mouvements de base on pour origine les cinq éléments chinois (métal, eau, bois, feu, et terre) qui peuvent tous triompher l’un de l’autre. Car le feu est vaincu par l’eau, laquelle à son tour est vaincue par la terre, laquelle est vaincue par le bois, lequel est vaincu par le métal dont triomphe le feu.

Dans le style Xing Yi Quan, ces éléments sont représentés par cinq mouvements de base : fendre, écraser, frapper, percer, et traverser. C’est dans ce cadre que s’effectue les mouvements principaux destinés à couvrir chaque angle, chaque direction d’attaque et de défense.

Le but essentiel du pratiquant est de parvenir à l’union de l’esprit et du corps. Les variantes réalisées à partir des mouvements de base sont plusieurs milliers et s’exécutent très rapidement. 

La mante religieuse

Appelé aussi Tang Lang Quan, ce style est créé par un Chinois nommé Wang Lang.

Comme il est souvent vaincu par des adversaires qui suivent des méthodes différentes, il décide de se retirer pour méditer.

Un jour, tandis qu’il est assis dans le jardin d’un temple il arpercoit une sauterelle et une mante religieuse qui se battent en suivant une tactique précise. Face à un adversaire plus gros et plus lourd, la mante frappe comme l’éclair avec ses pattes avant en forme de griffes. Puis, elle bat vite en retraite et se met à l’abri lorsque la sauterelle riposte.

Fasciné par cette démonstration, Wang Lang capture la mante et l’amène chez lui. Là, il observe chacun des mouvements de l’insecte en lui donnant de petits coups avec un bout de bois. Puis il met sur pied une méthode de combat à partir des mouvements de la mante. Il retourne ensuite affronter les adversaires qui suivent d’autres méthodes. Son nouveau style remporte un tel succès qu’il lui donne le nom de l’insecte.

La mante aux sept étoiles est une variante de cette méthode. Elle repose sur la théorie chinoise des constellations célestes.

Pak-Hok Paï 

Ce style est connu sous le nom de boxe du héron blanc.

Créé par des lamas tibétains, il était réservé à l’origine au corps d’élite des gardes du corps qui protégeaient l’empereur de Chine. Il est inventé après qu’un lama ayant assisté au combat entre une grue blanche et un singe.

Ce lama observe qu’au moment où le singe se précipite pour attaquer, la grue blanche se défend en l’évitant. Le lama rassemble huit techniques inspirées des mouvements de la grue et les associe aux techniques de jambe du singe.

Le Pak Hok Pai comporte certains éléments propres aux styles internes. Quant aux techniques grue blanche on les retrouve dans beaucoup d’autres techniques de kung-fu.

Hung Gar

Il s’agit d’une adaptation du système du tigre de Shaolin qui comporte également des techniques propres au style de la grue blanche.

Le Hung Gar est aussi connu sous le nom de style du tigre et de la grue. Il se caractérise par une position basse et exige des jambes solides. Cette position basse est appelée ma pu ("position du cavalier"). Le style Hung Gar est un style dur qui fait appel à des coups de poing brusques et puissants grâce auxquels les pratiquants obtiennent toujours le KO.

Hung aurait découvert ce style auprès d’un moine de Shaolin nommé Jee Sin Sim See. Le Hung Gar privilégie les méthodes de combat corps à corps.

Choy Lee Fut

Dernier des grands styles, mais non le moindre, crée par Chan Heung.

A l’origine, il s’agit d’une méthode secrète destinée à préparer les rebelles chinois pour en faire une force armée durant les guerres de l’opium au XIX ième siècle.

Dans ce style, qui comporte des coups de pieds hauts et bas, la puissance émane de la taille. Ce système de lutte à distance met en jeu grand nombre de techniques de jambes destinées à feindre et à esquiver.

La technique des membres supérieurs combine quant à elle, crochets uppercut, revers du poing et coups de poings circulaires tous assenés avec une force dévastatrice.

Le karaté

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Le nom signifie "main vide" provient de l’île japonaise d’Okinawa et a subi l’influence des méthodes de combats chinoises.

Trois styles principaux voient le jour : le Naha-te, le Tomari-te et le Shurite ( ainsi nommé d’après les villes d’Okinawa où ils étaient pratiqués.)

L’Okinawa-te, l’ancêtre du karaté, est introduit au Japon par un paisible instituteur d’Okinawa nom Gichi Funakoshi, expert dans la technique de coup de poing et de pied de son ile natale.

Funakoshi fait une démonstration de son art devant l’empereur du Japon ; celui-ci, très impressionné, lui demande de rester au japon pour l’enseigner.

Shotokai 

Ce style de karaté ressemble au Shotokan en ce que les positions restent basses. Les pratiquants du Shotokai délaissent le Shotokan parce qu’ils pensent qu’il s’éloigne des enseignements de Funakoshi.

Cette rupture est provoquée par un grand nombre des professeurs les plus âgés qui n’apprécient pas que l’on fasse du karaté un sport.

Shito-Ryu

Kenwa Mabuni arrivae d’Okinawa peu de temps après Gichin Funakoshi. Il a étudié auprès du même maître, mais il a eu deux autres professeurs : Itosu et Higaona. Mabuni nomme son style d’après les noms de ces deux professeurs. Mabuni apprécie les kata et son style en compte plus de 60.

La caractéristique de cette méthode est l’économie du mouvement inutile, qui ne ferait que prendre du temps et de l’énergie. 

Shukokai 

Chojiro Tani, ancien élève de Mabuni, quitte son école pour développer ses théories du Karaté de compétition, qui gagnent du terrain. Tani nomme son nouveau style Shukokai ("la voie pour tous").

Grâce à ses efforts constants, Tani a mis au point des coups de pied plus rapides et des positions plus hautes. Ces dernières offrent aux pratiquant une plus grande mobilité et davantage de rapidité dans l’exécution  des mouvements. Tani développe par ailleurs l’utilisation de coussins de mousse destinés à l’entraînement.

Cette méthode prône la relaxation avant l’impact, ce qui permet à l’accélération d’être plus importante et offre une grande puissance

Sankukai

Peu après que Tani crée son propre style, l’histoire se répéte, et son élève, Yoshinao Nanbu, le quitte pour fonder sa propre méthode, dérivée du Shukokai et nommée Sankukai. Nanbu remporte un certain succès au Japon, puisqu’il remporte à trois reprises le All Japan Students Championships.

Pour une raison inconnue, il quitte ensuite le monde du shukokai, quelque peu désenchanté. Les techniques du Sankukai ressemblent un peu à certaines écoles chinoises de kung-fu. 

Wado-Ryu 

Ce style de karaté, dont le nom signifie "la voie de la paix", est crée par Hidenori Otsuka, un ancien élève de Funakoshi. Etant jeune, il étudie le Ju Jitsu ; et cet art influence profondément l’élaboration du Wado-ryu. Pour beaucoup, ce style de karaté est l’un des plus rapides de tous. Il s’appuie sur des techniques très légères et très rapides, et préfère l’esquive à l’affrontement brutal. Le frère de l’empereur du Japon remit lui-même à Otsuka sa dixième dan ; et jusqu’à sa mort, en 1982, il resta le karateka « actif » le plus âgé du monde.

Kyokushinkai

Ce style de karaté, dont le nom signifie "la voie de la vérité" ultime est créé par Masatatsu Oyama , qui étudie le Shotokan auprès de Gichin Funakoshi.

Coréen de naissance, Oyama avait connu, dans sa jeunesse, les arts coréens et chinois. Il délaisse le Shotokan, peu convaincu par l’aspect combatif de cet art, et s’impose un exil de près de deux ans dans les montagnes du Japon.

Au cours de sa retraite isolée, il élabore une nouvelle méthode de karaté reposant sur un combat très efficace

Goju-Ryu

Ce style, dont le nom signifie "style dur-souple" est mis au point par Chojun Miyagi, venu d’Okinawa, d’après le style Naha-te originaire de cette île.

Le maitre de Miyagi est le grand Kanryo Higaonna, qui a passé une grande partie de sa jeunesse en Chine continentale et y a appris les méthodes de boxe chinoise.

Gojukai

Un ancien élève de Goju-Ryu, Gogen Yamagushi, abandonne ce style pour créer le Gojukai. Comme Miyagi ne reste pas longtemps au Japon, Yamagushi obtint un grand succès avec le Gojukai.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Yamagushi est pris par les Russes qui l’envoient dans un camp de travail. Malgré des privations terribles, il parvient à survivre et finit par retourner au Japon à la fin de la guerre.

Dans le monde du Karaté, Yamagushi est surnommé "le chat" en raison de son agilité extraordinaire. Le Gojukai accorde une grande importance à des techniques de respirations particulières. A l’origine, ce style ne compte pas de coups de pied élevés ; mais depuis que le karaté est un sport, certains sont employés. 

Tai-Kwon-Do

La traduction littérale de ce nom signifie "voie du pied et du poing". Bien que le tai-kwon-do se soit surtout développé à une époque récente, ses racines remontent à plus de 1500 ans.

Les principes fondateurs du Tai-Kwon-Do auraient été institués par Wong Kwang, un moine bouddhiste.

Ju-jitsu

 

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Finalement après la Chine, c’est le Japon qui a le plus d’influence sur les Arts Martiaux. Le Ju-Jitsu (" l’art de la souplesse") est l’un des premiers arts martiaux japonais à être introduit en Occident. C'est sur cet art aux grand nombre de clés, de prises et de techniques de strangulation que les armées de nombreux pays basent leurs méthodes d’entrainement au combat à mains nues.

La forme sportive du Ju-jitsu, le Judo ("la voie de la souplesse") est considérée comme un méthode d’entrainement aux techniques d’arrestation, destinée aux représentants de la loi. 

Conclusion

Finalement le kung-fu a donné naissances à une multitude de formes en Chine puis dans le reste dans le reste du monde.

La Chine et le Japon ont été, depuis 2000 ans, au cœur du développement des Arts Martiaux. Mais de nombreux pays du sud-est asiatique ont aussi élaboré des techniques de combat locales.

Aujourd'hui, la pratique des arts martiaux chinois est devenue très populaire. On pratique un art martial pour divers raisons : pour rester en forme, pour l’autodéfense, ou simplement pour la discipline que l’on veut en retirer.

Cependant, de nombreux pratiquants passent à coté du message spirituel but véritable. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sens profond des arts martiaux chinois, je vous invite à lire cet article sur la philosophie de Bruce Lee.

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